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les fautes déjà connues: avant: - Tapis installé le 22 décembre 2003 installé sur un chemin communal - Pas de cahier des charges de sécurité - Le moteur ne s'arrête pas lorsqu'un corps étranger est introduit dans la trappe. - Les sécurités étaient débranchées - 1 seul homme pour surveiller le bon fonctionnement de 4 tapis distants de 800m - Le perchiste avait signalé le risque qu'un enfant couché ou assis se blesse. Sa hiérarchie lui a répondu: " il suffit de l'interdire aux enfants" - Suite à des dysfonctionnements répétés (dus entre autre au gel du tapis) cet homme et son responsable ont débranché la sécurité vers 14h15 le samedi après plusieurs interventions.
après: - Un procureur qui nomme un expert non assermenté qui lui rendra le résultat en 24 heures alors que les experts assermentés prendront plusieurs mois. - Un secrétaire d'état qui reconnaît le vide réglementaire, demande une enquête mais n'arrête pas les autres tapis par devoir de précaution (alors un autre accident mortel avait déjà eu lieu en Autriche un an avant). - Un président de la république qui reçoit une lettre ouverte mais ne prend aucune décision par précaution. - Des préfets, des maires qui connaissent les risques mais n'arrêtent pas les tapis se souhaitant pas perturber le "business". - Des responsables de la mairie et de la station qui s'expriment devant la presse en mentant honteusement créant la honte pour leur village, leur région, leur pays. - Des journalistes qui avouent répéter sans aucune vérification les dires d'autres personnes; c'est ainsi qu'ils parlent d'autopsie qui n'a jamais eu lieu, ou encore de cellule psy qui n'a pas existé. Par contre aucun journaliste ne filme les maires qui décident de laisser les tapis fonctionner connaissant les risques. - Des journalistes (presse écrite et télévisuelle nationale) qui appellent au domicile des parents des lendemain matin avec comme seule intention "le scoop". - l'AFP qui refuse de publier un article transmis par l'avocat de la famille (cf article) - L'avocat de la famille ainsi que les proches obligés de contacter toute la presse pour leur demander de respecter le deuil. - La mairie obligée d'assurer un service d'ordre afin d'éviter que la cérémonie ne soit filmée ou enregistrée.
Seul le lampiste (perchiste) a des remords, des regrets et compatit à la souffrance de la famille qu'ils ont détruits, mais les autres aucun coeur, aucune âme?
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